Politique

Dans son arrêt, la cour siégeant en matière de constitutionnalité, a indiqué que cette mesure de destitution s'était déroulée en violation des articles 19, 61.5 et 146 alinéa 3 de la constitution du pays.

C'est ainsi qu'il appelle le chef de l'État à suivre l'exécution de son programme dans la province de la Tshopo où il est prévu la réhabilitation de route nationale 4 très vitale pour l'économie de l'ex province orientale et de la région

rien n'a changé, le social du peuple se détériore de plus en plus, hausse des prix de denrées alimentaires, mauvaise gouvernance opérationnalisée par l'incapacité à combattre la corruption, les détournements des derniers publics...” fait remarquer ce disciple de Martin Fayulu.

Le ministre congolais des droits humains est arrivé ce mardi 21 janvier 2020 à Bunia, chef-lieu lieu de la province de l'Ituri en proie...

Dans une interview exclusive accordée à Orientalinfo.net à l'occasion de présentation de son traditionnel message de vœux aux fidèles catholiques de son diocèse, l'évêque...

Oui, notre pays est agonisant , couché sur son propre sang, poignarder par ses propres filles et fils, en complicité avec le silence criminel de la communauté dite internationale. Tous devrions nous retrouver autour d une table ( FCC-CACH, LAMUKA, SOCIÉTÉ CIVILE, ÉGLISES ET CONFESSIONS RELIGIEUSES, LE MONDE SCIENTIFIQUE, LES DIFFÉRENTES CORPORATIONS QUI FAIT DE CONGO UN TOUT,...) Il est temps de chercher le vrai remède pour le Congo.

Voici la clé de répartition : 1. Secteur/chefferie Kibali : 9,75% soit 65 % de la quotité, 2. Secteur Gombari : 1,5% soit 10% de la quotité, 3. Chefferie Logo-Doka : 1,2% soit 8% de la quotité, 4. Chefferie Mariminza : 1,05% soit 7% de la quotité, 5. Chefferie Logo-Ogambi : 0,9% soit 6% de la quotité, 6. Chefferie Dhongo : 0,6 % soit 4% de la quotité.

S'agissant de la Mission de l'organisation des Nations Unies pour la Stabilisation du Congo (Monusco), ces élus rappellent qu'elle n'a aucune excuse à donner pour accomplir son mandat et mission principale de protéger la population sous prétexte d'un manque d'autorisation.

Coup de théâtre, 9 autres députés provinciaux viennent de retirer leur confiance à l'honorable Gilbert MOKOTO AMANGALAKATO. Ce dernier sous le coup d'une poursuite judiciaire est accusé par ces élus de comportement indigne, de l'instrumentation des de 7 députés afin de bloquer l'appareil judiciaire et du détournement des indemnités des fin carrière et des arriérés d'émoluments des députés provinciaux du Bas-Uele de la législature passée. Cette dernière accusation est aussi la principale cause de son ennuie avec la justice.

Le ministre provincial de l’intérieur, sécurité, décentralisation, Affaires coutumières, justice et droits humains, est suspendu de ses fonctions jusqu'à nouvel ordre depuis le 23...